Toutes ces données, parfois privées, hébergées chez les plus grands réseaux sociaux, étaient stockées en accès libre par une société chinoise. Celle-ci est visée pour la seconde fois après une première affaire révélée en Août 2020.
Elle est spécialisée dans l’aide au développement des communautés de grandes multinationales sur le marché chinois ce qui lui a permis d’acquérir une base aussi importante.
Le risque est donc marqué pour ces utilisateurs de faire l’objet de piratage ou d’escroquerie…
Source et suite de l’article sur :